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CINE
Ben vi, ça y est, je me lance
Ai donc pris il y a 15 jours un abonnement illimité au pathé à coté de chez moi (1,5 min à pied de chez moi), cédant aux sirènes des frais de dossier offerts.
Why ?
...nan, le 1er qui dit "pour la clim'...a PERDU..nan, mais j'apprecie la perspective de me dire que le ciné est une option A VOLONTE pour occuper mes soirées.
Bon, comme je suis un peu controleuse de gestion sur les bords, j'ai bien l'intention de le rentabiliser, cet abonnement
J'ai donc vu depuis le 15 aout 3 films :
VERY BAD TRIP comedie/road movie américain, sympathique mais qui ne restera pas gravée dans les annales...même si j'en suis ressortie la tête vidée de ce qu'elle cherchait à fuire, ce qui était le but numéro un
NUMERO 9, film d'animation produit par Tim BURTON, très belle réussite technologique pleine de poésie.
Postulat de base du scénario : les hommes ont été détruits par les machines qu'ils avait crée et il reste...dans le cas présent 9 petites marionettes (rendues vivantes...ben justement par le créateur-mort entre temps- des dites machines) pour les combattre...là faut quand même avouer qu' on a trouvé plus original
Et je garde le meilleur pour la fin : Inglorious basterd de Quentin TARENTINO
Casting impec : vi, vi, vi, j'enrage de devoir reconnaitre que Brad PITT est bien plus qu'une belle gueule..là, il en joue d'ailleurs jamais, de sa tronche et le reste des acteurs est à l'avenant : DU TRES BON
Scénar : 2onde guerre mondiale
une faction de 8 hommes (les basterds, donc) se charge de tuer-avec le tact et la délicatesse inérante à TARENTINO- un max de nazis en un minimum de temps...et voilà qu'une avant-première reunissant tous les pontes nazis se prépare...sauf que y a pas que les basterds qui ont envie de voir couler le sang de toute cette assemblée
...z'en dis pas plus
rythme : alternance de scènes "gores" et de huits clos lents, dialogues ciselés et tout au long du film; la patte IMMANCABLE qui fait qu'on aime (ou pas, d'ailleurs mais moi j'adore) TARENTINO
-ben la caméra, elle s'en va pas quand nos bastards skalpent (si si, skalpent) les nazis
-toujours des parties de dialogue complètement hors sujet/hors contexte qui font toute la folie des films de ce cher Quentin
...juste j'ai regretté qu'il n'y ait pas une BO d'enfer (contrairement à ses films précédents)
en bref ? 2 h 30 que j'ai pas vu passé
Ai donc pris il y a 15 jours un abonnement illimité au pathé à coté de chez moi (1,5 min à pied de chez moi), cédant aux sirènes des frais de dossier offerts.
Why ?
...nan, le 1er qui dit "pour la clim'...a PERDU..nan, mais j'apprecie la perspective de me dire que le ciné est une option A VOLONTE pour occuper mes soirées.
Bon, comme je suis un peu controleuse de gestion sur les bords, j'ai bien l'intention de le rentabiliser, cet abonnement
J'ai donc vu depuis le 15 aout 3 films :
VERY BAD TRIP comedie/road movie américain, sympathique mais qui ne restera pas gravée dans les annales...même si j'en suis ressortie la tête vidée de ce qu'elle cherchait à fuire, ce qui était le but numéro un
NUMERO 9, film d'animation produit par Tim BURTON, très belle réussite technologique pleine de poésie.
Postulat de base du scénario : les hommes ont été détruits par les machines qu'ils avait crée et il reste...dans le cas présent 9 petites marionettes (rendues vivantes...ben justement par le créateur-mort entre temps- des dites machines) pour les combattre...là faut quand même avouer qu' on a trouvé plus original
Et je garde le meilleur pour la fin : Inglorious basterd de Quentin TARENTINO
Casting impec : vi, vi, vi, j'enrage de devoir reconnaitre que Brad PITT est bien plus qu'une belle gueule..là, il en joue d'ailleurs jamais, de sa tronche et le reste des acteurs est à l'avenant : DU TRES BON
Scénar : 2onde guerre mondiale
une faction de 8 hommes (les basterds, donc) se charge de tuer-avec le tact et la délicatesse inérante à TARENTINO- un max de nazis en un minimum de temps...et voilà qu'une avant-première reunissant tous les pontes nazis se prépare...sauf que y a pas que les basterds qui ont envie de voir couler le sang de toute cette assemblée
...z'en dis pas plus
rythme : alternance de scènes "gores" et de huits clos lents, dialogues ciselés et tout au long du film; la patte IMMANCABLE qui fait qu'on aime (ou pas, d'ailleurs mais moi j'adore) TARENTINO
-ben la caméra, elle s'en va pas quand nos bastards skalpent (si si, skalpent) les nazis
-toujours des parties de dialogue complètement hors sujet/hors contexte qui font toute la folie des films de ce cher Quentin
...juste j'ai regretté qu'il n'y ait pas une BO d'enfer (contrairement à ses films précédents)
en bref ? 2 h 30 que j'ai pas vu passé
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